Apremont (Savoie)
Apremont | |||||
Les coteaux d'Apremont en automne. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Savoie | ||||
Arrondissement | Chambéry | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Cœur de Savoie | ||||
Maire Mandat |
Marc Dupraz 2020-2026 |
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Code postal | 73190 | ||||
Code commune | 73017 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Apremolains | ||||
Population municipale |
972 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 55 hab./km2 | ||||
Population agglomération |
220 118 hab. (2013) | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 30′ 54″ nord, 5° 57′ 29″ est | ||||
Altitude | Min. 302 m Max. 1 554 m |
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Superficie | 17,76 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Chambéry (banlieue) |
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Aire d'attraction | Chambéry (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Montmélian | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Savoie (département)
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
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Liens | |||||
Site web | mairie-apremont.com | ||||
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Apremont est une commune française située dans le département de la Savoie, en région Auvergne-Rhône-Alpes. Elle donne son nom au vin homonyme.
La commune est membre du parc naturel régional de la Chartreuse.
Géographie
Apremont est située au pied du massif de la Chartreuse, dans les Préalpes.
Communes limitrophes
La commune d'Apremont est bordée par les municipalités d'Entremont-le-Vieux au col du Granier, de Montagnole, de Saint-Baldoph au nord en direction de Chambéry, de Porte-de-Savoie (Les Marches) au sud en direction de Grenoble, et de Myans à l'est.
Climat
En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du nord, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 200 à 1 500 mm, irrégulièrement répartie en été[2].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 18,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 267 mm, avec 9,3 jours de précipitations en janvier et 8,2 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Challes les Eaux », sur la commune de Challes-les-Eaux à 4 km à vol d'oiseau[3], est de 11,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 147,6 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].
Urbanisme
Typologie
Au , Apremont est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[7]. Elle appartient à l'unité urbaine de Chambéry[Note 1], une agglomération intra-départementale regroupant 35 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[8],[9]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Chambéry, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[9]. Cette aire, qui regroupe 115 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[10],[11].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (59,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (60,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (59,7 %), cultures permanentes (20,1 %), zones agricoles hétérogènes (14,3 %), prairies (5,9 %)[12].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
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Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
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Carte orthophotogrammétrique de la commune.
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Capella de Aspero vers 1100[13], Boso de Aspromonte, vers 1178[13], Ecclesia Sancti Petri de Aspermonte en 1191[13] ou encore Asperus Mons en 1488[14].
Un travail ancien de Michel Roblin indique que les Apremont font partie des noms de grands domaines gallo-romains dont le radical est formé par un mot commun exprimant une idée de relief. Deux hypothèses sont possibles : à l’origine ce nom n’aurait pas caractérisé un lieu habité, mais seulement un quartier du domaine. S’il désigne aujourd’hui un lieu habité, cet habitat n’est pas originel. Dans l’autre cas, ce nom a désigné originellement un fundus[15].
En réalité, l'utilisation d'appellatifs romans tel mont dans la toponymie française est rarement antérieure au Haut Moyen Âge (VIe siècle - VIIe siècle)[16]. C'est pourquoi Ernest Nègre voit dans Apremont un composé franco-provençal en -mont « mont » et aspre au sens d'« escarpé »[17], il est suivi en cela par d'autres toponymistes[18][réf. incomplète], d'où le sens global de « mont escarpé »[17] ou de « montagne, montée rude » ou « raide »[18]. Il peut en outre désigner une « montagne rocheuse et rude »[13],[14].
Remarque : l'antéposition de l'adjectif était plus fréquente en français et en franco-provençal qu'aujourd'hui en français, cela explique pourquoi l'élément Apre- (anciennement Aspre) est placé avant -mont comme c'est encore le cas pour l'adjectif bel, beau que l'on retrouve dans les types toponymiques Belmont et Beaumont qui signifient « beau mont »[17].
En francoprovençal, le nom de la commune s'écrit Opramon (graphie de Conflans) ou Âpromont (ORB)[19].
Histoire
Le nom « Apremont » apparaît pour la première fois dans un document de 1178. Il vient de Aspremonte qui signifie montagne (monte) escarpée (asper).
Autrefois, la commune était à la frontière entre la Savoie et la province française du Dauphiné. La Savoie fut pendant de nombreux siècles un pays indépendant. Tout d'abord un comté puis un duché avant de recevoir la dédition de Nice (1388), puis de donner naissance au royaume de Sardaigne puis département français en 1860.
Politique et administration
La commune est membre de la Communauté de communes Cœur de Savoie. Elle appartient au Territoire du Cœur de Savoie, qui regroupe une quarantaine de communes de la Combe de Savoie et du Val Gelon[20].
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[22].
En 2021, la commune comptait 972 habitants[Note 4], en diminution de 4,42 % par rapport à 2015 (Savoie : +3,33 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Activités & Loisirs
Le territoire offre un large choix de randonnées pédestres, équestres ou cyclistes. De nombreux sentiers balisés sensibilisent à la découverte du patrimoine au départ du col du Granier ou à travers les vignes.
Pour les amateurs et professionnels, un parcours de golf 9 trous se situe à l'entrée nord de la commune.
Le village d’Apremont organise une balade gourmande à travers les vignes. Celle-ci offre des vues panoramiques et des commentaires de la vigne par des vignerons et des œnologues, suivis enfin d'une dégustation de vins[25].
Économie
Au-delà de l'activité viticole, de nombreux artisans et commerçants participent au développement économique de la commune. Citons notamment une production fromagère de chèvre et de brebis et plusieurs producteurs de miel qui complètent l'offre agricole ainsi qu'une économie liée au tourisme avec une offre d'hébergements touristiques (hôtel, gîtes et chambres d'hôtes) émergente.
La commune fait partie de l'aire géographique de production et transformation du « Bois de Chartreuse », la première AOC de la filière Bois en France[26],[27].
Vignoble de Savoie
Dans la nuit du , un retentissant éboulement du mont Granier façonna à jamais le paysage de la Cluse de Chambéry. C'est ainsi qu'est né ce terroir d'exception, parsemés de bloc de rochers qui confèrent au vignoble une réelle spécificité.
Situées à une altitude moyenne de 350 mètres et baignées par le soleil levant, les vignes d'Apremont sont travaillées depuis des siècles par les hommes.
Le cru apremont s'étend sur trois communes (Apremont, Saint-André-les-Marches et Saint-Baldoph) ce qui représente au total 400 hectares. Il est le cru le plus important des vins de Savoie. Ce succès est dû à l’importance de sa production. Ce vin est diffusé dans toute la France. Le cru d’Apremont comporte 121 viticulteurs, une cave coopérative, 4 maisons de négoce et une vingtaine de caveaux ouvert aux publics. Les sols calcaires de la commune d'Apremont dû à l’éboulement du sont particulièrement propices à l'élaboration des vins blancs et leur production est trois fois plus importante que celle des vins rouges. C’est pour cela que le cru Apremont bénéficie de l’appellation Perlant. Il y a 16 villages qui ont leur nom à l’AOC vin de Savoie dont Apremont[28].
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Vue sur la Cluse de Chambéry et la Combe de Savoie depuis les coteaux d'Apremont.
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Vue sur le Granier et le vignoble d'Apremont.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Le château d'Apremont est un ancien château fort, du XIIIe siècle, qui se dressait sur un mamelon rocheux, au-dessus du hameau d'Apremont-le-Gaz, au confluent de deux torrents, sur les pentes nord-est du mont Granier, face à celui de Montmélian. Il contrôlait le carrefour des routes allant du Dauphiné en Savoie, route de Chambéry (Lyon et Genève) à Grenoble par la vallée de l'Isère, d'Entremont-le-Vieux à Myans, et celle de Lyon à Chambéry par le col des Échelles. Le château fut, au Moyen Âge, le centre de la seigneurie d'Apremont, élevée au titre de baronnie en 1497, château ancestral des seigneurs de La Balme d'Apremont, il a fait place à une maison moderne. Il en subsiste quelques vestiges.
La maison Vigne et Vin Savoie : ce bâtiment s’est construit en 2007 au cœur du village. C’est pour permettre aux viticulteurs d’améliorer la qualité de l’AOC. C’est aussi un lieu de rencontres, la maison comporte plusieurs salles : pour les expositions, pour la vente du vin, pour la dégustation, des cours d’œnologie sont organisés[25].
Patrimoine naturel
- Cascade du Pichut
- Le Nant du Rousselet prend sa source au mont Joigny et a creusé son lit dans les calcaires et marnocalcaires du Crétacé inférieur constituant les falaises qui l'enserrent et créant une succession de cascades. La cascade du Pichut mesure 30 mètres de haut et 15 mètres de large.
- Elle fait partie de la ZNIEFF (Zone Naturelle d'Intérêt Ecologique, Faunistique et Floristique) qui compte 180 hectares classés sur Apremont.
Personnalités liées à la commune
Héraldique
Blason | Fascé d'or et de sable. |
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Détails | Les armes de la commune ne sont pas officielles. Elles reprennent les armes considérées comme ayant appartenu à la famille de La Balme d'Apremont[29]. Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
Bibliographie
- Association de l'Histoire en Cœur de Savoie, 1000 ans d'histoire en Cœur de Savoie, Neva Éditions, , 1027 p. (ISBN 2-3505-5281-0 et 978-2-35055-281-1, OCLC 1202710836), « Apremont », p. 56-71
- Michèle Brocard, Lucien Lagier-Bruno, André Palluel-Guillard, Histoire des communes savoyardes : Aix-les-Bains et ses environs - Les Bauges - La Chartreuse - La Combe de Savoie - Montmélian (vol. 2), Roanne, Éditions Horvath, , 463 p. (ISBN 978-2-7171-0310-6), p. 280-283. ([PDF] lire en ligne)
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Chambéry comprend deux villes-centres (Aix-les-Bains et Chambéry) et 33 communes de banlieue.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Apremont et Challes-les-Eaux », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Challes les Eaux », sur la commune de Challes-les-Eaux - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Challes les Eaux », sur la commune de Challes-les-Eaux - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Chambéry », sur insee.fr (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Chambéry », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Chanoine Adolphe Gros, Dictionnaire étymologique des noms de lieu de la Savoie, La Fontaine de Siloé, (réimpr. 2004, 2021) (1re éd. 1935), 519 p. (ISBN 978-2-84206-268-2, lire en ligne), p. 30..
- Henry Suter, « Apremont », sur le site d'Henry Suter, « Noms de lieux de Suisse romande, Savoie et environs » - henrysuter.ch, 2000-2009 (mis à jour le 18 décembre 2009) (consulté le ).
- Michel Roblin, « Les grands domaines de l’aristocratie gallo-romaine et la toponymie », Revue anthropologique, série 1-2, 1955-1956, pp. 139-148.
- François de Beaurepaire (préf. Yves Nédélec), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Manche, Paris, A. et J. Picard, (ISBN 2-7084-0299-4, OCLC 15314425), p. 26-27
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Librairie Droz SA, (ISBN 978-2-600-02883-7, lire en ligne), p. 1162
- G. R. Wipf, Noms de lieux des pays franco-provençaux: région Rhône-Alpes, Suisse romande, Val d'Aoste : histoire et étymologie, p. 167.
- Lexique Français - Francoprovençal du nom des communes de Savoie : Lé Kmoune in Savoué, Bruxelles, Parlement européen, , 43 p. (ISBN 978-2-7466-3902-7, lire en ligne), p. 20Préface de Louis Terreaux, membre de l'Académie de Savoie, publié au Parlement européen à l'initiative de la députée Malika Benarab-Attou..
- Direction départementale des Territoires de la Savoie, « Territoire du Coeur de Savoie », sur le site de la Direction départementale des Territoires - observatoire.savoie.equipement-agriculture.gouv.fr (consulté en ), Observatoire des Territoires de la Savoie.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Balade gourmande Apremont agapes [en ligne].Mairie. Disponible sur http://www.mairie-apremont.com/document/PNR_CHARTREUSE_DEPLIANT_AGAPES_APREMONT.pdf
- Information Presse du 5 novembre 2018 : Le Bois de Chartreuse obtient la première AOC Bois en France. Une première dans la filière bois !, site officiel du Bois de Chartreuse.
- Cahier des charges de l’appellation d’origine « Bois de Chartreuse », homologué par l’arrêté du 23 octobre 2018 publié au JORF du 31 octobre 2018, Bulletin officiel du Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, n° 2018-46 (.PDF).
- Messiez, Maurice. Vignes et vins de Savoie. Le Dauphiné. 51p. (ISBN 978-2-8110-0002-8).
- Comte Amédée de Foras, Armorial et nobiliaire de l'ancien duché de Savoie, vol. 1, Grenoble, Allier Frères, 1863-1910 (lire en ligne), p. 99.