Fuk'anggan

Fu Kangan
Fonctions
武英殿大学士 (d)
Gouverneur général du Shānxi et du Gansu (d)
Gouverneur du Yun-Gui (en)
Gouverneur général du Zhejiang et du Fujian (en)
Gouverneur général du Sichuan
Gouverneur du Liangguang (d)
Amban des secrets militaires (d)
Biographie
Naissance
Décès
Nom dans la langue maternelle
ᡶᡠᠺᠠᠩᡤᠠᠨ ou 福康安Voir et modifier les données sur Wikidata
Prénom social
瑤林Voir et modifier les données sur Wikidata
Nom posthume
文襄Voir et modifier les données sur Wikidata
Nom de pinceau
敬齋Voir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Activité
Famille
Shaji Fuca (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Père
Fuheng (en)Voir et modifier les données sur Wikidata
Fratrie
Fu Long'an (d)
Fu Changan (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
Bannière
Mandchoue jaune à bordure (d)1Voir et modifier les données sur Wikidata
Conflit

Fuk'anggan (Manchou : ᡶᡠᠺᠠᠩᡤᠠᠨ, translittération Möllendorff : fuk'anggan ; chinois : 福康安 ; pinyin : fú kāng'ān), nom de cour Yaolin (瑶林 / 瑤林, yáolín), né en 1753 et décédé en 1796, est un noble mandchou. Il était dans le clan Fuca (富察, fùchá) et dans la bannière jaune à bordure des Huit bannières de la dynastie Qing. Il est le fils de Fuheng (zh) (傅恒), qui était lui-même frère de l'impératrice Xiaoxianchun (zh) (孝贤纯皇后)

Fuk'anggan a eu différents postes importants sous le règne de Qianlong, dont ceux de gouverneur général, gouverneur de Liangjiang (zh) (两江总督) et gouverneur de Liangguang (zh) (两广总督).

Guerres

En 1787, 300 000 personnes prennent part à une insurrection armée sur l'île de Taïwan contre le gouvernement de la dynastie Qing. Fuk'anggan commande alors une armée de 20 000 militaires et mate la rebellion[1].

En 1790, à la suite de l'invasion du Tibet par les Gurkhas, lors de la guerre sino-népalaise, Jamphel Gyatso, le 8e dalaï-lama s'échappe de Lhassa et demande de l'aide au gouvernement de la dynastie Qing. L'empereur Qianlong désigne alors Fuk'anggan comme commandant en chef de la campagne au Tibet. Celui-ci défait l'armée Gurkha et libère le Tibet, puis repousse l'armée népalaise plus profondément dans son territoire.[réf. nécessaire]

Galerie

Annexes

Notes et références

  1. (en) « Ho-Shen », sur Qing Research Portal, Dartmouth College

Bibliographie

  • (mnc) Anonyme, ᡥᠠᡳᠯᠠᠨᠴᠠ ᡳ
    ᡶᠠᡳᡩᠠᠩᡤᠠ
    ᡠᠯᠠᠪᡠᠨ
    (La biographie collectée de Hailanca)
    ,‎ (lire en ligne)

Liens externes