Ménévillers
Ménévillers | |||||
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Administration | |||||
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Pays | ![]() |
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Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Oise | ||||
Arrondissement | Clermont | ||||
Intercommunalité | CC du Plateau Picard | ||||
Maire Mandat |
Cédric Poinsard 2020-2026 |
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Code postal | 60420 | ||||
Code commune | 60394 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Ménévillerois, Ménévilleroises | ||||
Population municipale |
103 hab. (2022 ![]() |
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Densité | 21 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 31′ 23″ nord, 2° 36′ 21″ est | ||||
Altitude | Min. 79 m Max. 108 m |
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Superficie | 4,88 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton d'Estrées-Saint-Denis | ||||
Législatives | 1re circonscription de l'Oise | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Oise
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Ménévillers est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.
Géographie
Localisation
Ménévillers est un village rural du Plateau picard, situé à vol d'oiseau à 13 km à l'est de Saint-Just-en-Chaussée, 14 km au nord de Montdidier, 30 km à l'ouest de Noyon, 19 km au nord-ouest de Compiègne et 21 km au nord-est de Clermont.
La commune se trouve dans la zone d'emploi de Compiègne et dans le bassin de vie de Saint-Just-en-Chaussée[I 1].
Communes limitrophes
Les communes limitrophes sont Méry-la-Bataille, Montgérain, Montiers, Saint-Martin-aux-Bois et Wacquemoulin.
Géologie et relief
La superficie de la commune est de 4,88 km2 ; son altitude varie de 79 à 108 mètres[1].
Elle est située sur un plateau surplombant la vallée de l'Aronde
Hydrographie
![Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune](http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/4/45/60394-M%C3%A9n%C3%A9villers-Hydro.jpeg/310px-60394-M%C3%A9n%C3%A9villers-Hydro.jpeg)
La commune est située dans le bassin Seine-Normandie. Elle n'est drainée par aucun cours d'eau[2],[Carte 1].
Climat
En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (3 °C)[4].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 680 mm, avec 11,1 jours de précipitations en janvier et 7,9 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Godenvillers à 8 km à vol d'oiseau[5], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 701,9 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].
Urbanisme
Typologie
Au , Ménévillers est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9].
Elle est située hors unité urbaine[I 1] et hors attraction des villes[10],[11].
Occupation des sols
![Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.](http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/9/94/60394-M%C3%A9n%C3%A9villers-Sols.png/310px-60394-M%C3%A9n%C3%A9villers-Sols.png)
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (94,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (94,7 %).
La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (94,7 %), zones urbanisées (5,3 %)[12].
L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Habitat et logement
En 2021, le nombre total de logements dans la commune était de 44, alors qu'il était de 42 en 2016 et de 40 en 2011[I 2].
Parmi ces logements, 89,9 % étaient des résidences principales, 6,7 % des résidences secondaires et 3,4 % des logements vacants. Ces logements étaient tous des maisons individuelles[I 3].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Ménévillers en 2021 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (6,7 %) supérieure à celle du département (2,4 %) mais inférieure à celle de la France entière (9,7 %).
Typologie | Ménévillers[I 3] | Oise[I 4] | France entière[I 5] |
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Résidences principales (en %) | 89,9 | 90,5 | 82,2 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 6,7 | 2,4 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 3,4 | 7 | 8,1 |
Voies de communication et transports
Ménévillers est traversé par la ligne d'Ormoy-Villers à Boves[13],[14], mais sa gare a été supprimée dans les années 1970/1980 et la station de chemin de fer la plus proche est la gare de Wacquemoulin, desservie par des trains TER Hauts-de-France qui effectuent des missions entre les gares Amiens et de Compiègne.
La commune est desservie, en 2023, par les lignes 6309 et 6328 du réseau interurbain de l'Oise[15].
Énergie
Un méthaniseur est créé en 2020 par quatre familles d'exploitants agricoles[16].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Meloisviller (1066) ; Mellisvillare (1125) ; Melleisvillare (1125) ; Meleisvilariis (1125) ; Melleivillaris (1150) ; Meneivillare (1175) ; Melaisvillaris (1190) ; Menoisviler (1190) ; Menoisviller (1195) ; Meloisvillare (1220) ; Meloiwillaris (1220) ; Melosviler (1239) ; Menoivillare (1253) ; Simon le prieus de menorviler (1255) ; Menoyviler (1263) ; Meneuviller (1322) ; Menenvillare (1348) ; Mesneviller (1450) ; Meneviller (1450) ; Menesviller (1469) ; Menesvillé (XVIe) ; Menovillé (XVIe) ; Menoiviler (XVIe) ; Menesvilliers (XVIe) ; Menesvillers (XVIe) ; Maneviller (1631) ; Mennevillé (1682) ; Menevillers (1840) ; Ménévillers (XIXe)[17].
Histoire
Antiquité
Des vestiges gallo-romains ont été retrouvés, sans doute en lien avec la voie romaine reliant Venette à Montdidier[18].
Moyen Âge
L’abbaye de Saint-Martin-aux-Bois a la seigneurie des lieux et est propriétaire d'un moulin à vent fortifié, détruit pendant la Guerre de Cent Ans sous le règne de Charles VII par les Anglais. Elle est propriétaire de la plupart des terres agricoles, qu'elle exploite elle-même ou qu'elle afferme[18].
Temps modernes
Le moulin est rebâti en 1514 par les religieux avec la permission de Louis XII. Il est détruit au XIXe siècle, mais le lieu-dit en garde le souvenir, le « le moulin Flamant »[18].
Sous l'Ancien Régime, le village dépend du bailliage et du grenier à sel de Montdidier[18].
Époque contemporaine
En 1839, la population vit de l'agriculture[19].
En 1900, le village compte des artisans et des commerçants, notamment un charron et un maréchal-ferrant, une fabrique de chaussons et trois café-épiceries[18].
En 1934 les artisans et commerçants sont un apiculteur, 3 cafés dont 2 épiceries, 1 maçon et 1 maréchal-ferrant[18].
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
Rattachements administratifs
La commune se trouve depuis 1942 dans l'arrondissement de Clermont du département de l'Oise[I 1].
Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Maignelay-Montigny[1]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Rattachements électoraux
Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton d'Estrées-Saint-Denis[I 1].
Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la première circonscription de l'Oise.
Intercommunalité
La commune fait partie de la communauté de communes du Plateau Picard, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 1989 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.
Liste des maires
Équipements et services publics
Population et société
Démographie
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[27].
En 2022, la commune comptait 103 habitants[Note 3], en évolution de −2,83 % par rapport à 2016 (Oise : +0,87 %, France hors Mayotte : +2,11 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune.
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 36,6 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 18,3 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 47 hommes pour 56 femmes, soit un taux de 54,37 % de femmes, largement supérieur au taux départemental (51,11 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Économie
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Croix en pierre (XVIe siècle)
Classé MH (1896)[31], place de l’Église, datant de l'époque Renaissance et constituée d'une colonne monolithe décorée de rinceaux s’enroulant autour de montants verticaux, haute d’environ 6,50 mètres et assise sur un soubassement octogonal à gradins. Au dessus se trouvent les instruments de la Passion, avec l’échelle, la lance, la colonne de la flagellation, une épée et des cordes[18].
- Église Saint-Léonard, et ses fonts baptismaux
Classé MH (1925)[32] du XIe siècle[18].
- Monument aux morts.
- Ancien puits communal, rue de Wacquemoulin[18].
- Calvaire du cimetière (ou Chapelle de Ménévillers), datée de 1600, constituée d'une petite chapelle en pierre surmontée du calvaire[18].
- L'un des circuits des chars de la Première Guerre mondiale, celui du capitaine Rime Bruneau (11 km), qui débute au monument aux morts de Saint-Martin-aux-Bois, passe par Ménévillers, Wacquemoulin et Montiers[33].
Personnalités liées à la commune
- Le futur général George Patton, alors lieutenant-colonel de l'US Army, vient observer à la fin de la Première Guerre mondiale, du au , les chars français du groupement III de chars Schneider stationné à Léglantiers d'avril à juin 1918.
L'officier américain se rend à Saint-Martin-aux-Bois, Ménévillers, Montiers et Breteuil, au plus près des combats[34].
Pour approfondir
Articles connexes
Liens externes
- Lauriane Leroy, « Ménévillers », Les communes du canton de Maignelay, Société historique de Maignelay-Montigny et des environs, (consulté le ).
- « Dossier complet : Commune de Ménévillers (60394) », Recensement général de la population de 2021, INSEE, (consulté le ).
- Ménévillers sur le site BANATIC du Ministère de l'intérieur (DGCL).
- « Ménévillers » sur Géoportail.
Notes et références
Notes
- ↑ Accès au lien de l'article Wikipédia de la commune limitrophe en cliquant sur celle-ci.
- ↑ Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- ↑ Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
Cartes
- ↑ « Réseau hydrographique de Ménévillers » sur Géoportail (consulté le 22 septembre 2024).
- ↑ IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
Site de l'Insee
- Insee, « Métadonnées de la commune de Ménévillers ».
- ↑ « Chiffres-clés - Logement en 2021 à Ménévillers - Section LOG T1 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2021 à Ménévillers - Section LOG T2 » (consulté le ).
- ↑ « Chiffres-clés - Logement en 2021 dans l'Oise - Section LOG T2 » (consulté le ).
- ↑ « Chiffres-clés - Logement en 2021 dans la France entière - Section LOG T2 » (consulté le ).
Autres sources
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- ↑ « Fiche communale de Ménévillers », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines dans le bassin Seine-Normandie (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- ↑ « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
- ↑ « Orthodromie entre Ménévillers et Godenvillers », sur fr.distance.to (consulté le ).
- ↑ « Station Météo-France « Godenvillers » (commune de Godenvillers) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- ↑ « Station Météo-France « Godenvillers » (commune de Godenvillers) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- ↑ « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
- ↑ « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- ↑ « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- ↑ Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- ↑ « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- ↑ « Ligne Ormoy-Villers – Boves • Estrées-Saint-Denis », La bifurcation de Verberie, sur https://www.rail4402.fr/ (consulté le ).
- ↑ José Banaudo, Trains oubliés : 4. l'État, le Nord, les Ceintures, Menton, Éditions du Cabri, , 223 p. (ISBN 2-903310-24-6) ; p. 147-149.
- ↑ « Transports en commun à Ménévillers », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
- ↑ Carlos Da Silva, « Un méthaniseur en projet dans la campagne de Ménévillers », Le Courrier picard, (lire en ligne
, consulté le ) « Un groupement d’agriculteurs envisage d’installer une unité de production de biométhane sur le territoire de la commune ».
- ↑ Émile LAMBERT, Dictionnaire topographique de l'Oise, Amiens, (lire en ligne), p. 340.
- Société historique de Montigny-Maignelay, page mentionnée en Liens externes.
- ↑ Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Maignelay, arrondissement de Clermont (Oise), Beauvais, Achille Desjardins, (lire en ligne), p. 54-56, sur Gallica.
- ↑ « Les maires de Ménévillers », sur https://www.francegenweb.fr/ (consulté le ).
- ↑ Céline Sol, « Oise / Ménévillers : les obsèques de l’ancien maire Bernard Cochepin seront célébrées ce jeudi à Tricot », Le Bonhomme picard, (lire en ligne, consulté le ) « Son père avait été maire, tout comme son son grand-père, et son arrière grand-père… Et c’est en 1965 que Bernard Cochepin avait intégré la municipalité en tant que conseiller municipal. Il sera, par la suite, trois fois adjoint ».
- ↑ « Christian Le Nud élu maire », Le Bonhomme picard, édition de Clermont, no 3284, , p. 15 (ISSN 1144-5092).
- ↑ Armand Prin, « Pourquoi Christian Le Nud a démissionné : L'ancien maire du village du Plateau picard explique que les relations s'étaient considérablement compliquées au sein de son conseil municipal », Le Bonhomme picard, édition de Clermont, no 3488, , p. 15 « Christian Le Nud avait été élu maire de Ménévillers en mai 2014. Il a démissionné en décembre dernier (...) Néanmoins, il évoque des relations très compliquées avec son 1er adjoint, Cédric Poinsard, devenu maire tout récemment ( nous avons tenté de joindre en vain Cédric Poinsard). Une mauvaise ambiance générale s'est installée selon l'ancien édile ».
- ↑ « Cédric Poinsard succède à Christian Le Nud », Le Bonhomme picard, édition de Clermont, no 3487, , p. 16 « Cédric Poinsard a été élu maire le 23 février. Son 1er adjoint est Frédéric Lefèvre et son 2e adjoint, Yohan Delille ».
- ↑ « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur https://www.data.gouv.fr, (consulté le ).
- ↑ L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- ↑ Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- ↑ Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020, 2021 et 2022.
- ↑ Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Ménévillers (60394) », (consulté le ).
- ↑ Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
- ↑ « croix de pierre », notice no PA00114745, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- ↑ « fonts baptismaux », notice no PM60001053, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- ↑ « Sept sentiers, à faire à pied ou à VTT », Le Courrier picard, (lire en ligne
, consulté le ).
- ↑ Sylvie Molinès, « Quand le général Patton s'entraînait sur le plateau picard », Le Courrier picard, (lire en ligne
, consulté le ).