Sixt-Fer-à-Cheval

Sixt-Fer-à-Cheval
Sixt-Fer-à-Cheval
Vue de Sixt-Fer-à-Cheval
depuis le collet d'Anterne.
Blason de Sixt-Fer-à-Cheval
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Haute-Savoie
Arrondissement Bonneville
Intercommunalité Communauté de communes des Montagnes du Giffre
Maire
Mandat
Stéphane Bouvet
2020-2026
Code postal 74740
Code commune 74273
Démographie
Gentilé Sizerets
Population
municipale
738 hab. (2021 en diminution de 4,77 % par rapport à 2015)
Densité 6,2 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 03′ 21″ nord, 6° 46′ 35″ est
Altitude Min. 728 m
Max. 3 098 m
Superficie 119,07 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Cluses
Législatives Sixième circonscription
Localisation
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Sixt-Fer-à-Cheval
Liens
Site web [1]

Sixt-Fer-à-Cheval (prononciation: [sikst fɛʁ a ʃ(ə.)val]) est une commune française située dans le département de la Haute-Savoie, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

La commune était membre de l'association des plus beaux villages de France jusqu'en 2018, année de son retrait. La commune en a profité pour relancer de façon concrète l'Opération Grand Site de France, lancée depuis le début des années 2000.

Géographie

Représentations cartographiques de la commune
Mairie
Carte OpenStreetMap
Carte OpenStreetMap
Carte topographique
Carte topographique
1 : carte dynamique ; 2. carte OpenStreetMap ; 3 : carte topographique

Le chef-lieu se trouve au cœur du massif du Haut Giffre, à environ 765 mètres d'altitude. Les habitations sont concentrées au bord du Giffre sur la plaine de la Glière et sur les pentes de la Montagne de Commune, où l'on trouve le plus important hameau, Salvagny.

Le chef-lieu, Le Crot et l'Echarny, 2008.

Les principaux autres hameaux constituant la commune sont : Le Mont, les Curtets, Le Crot, l'Echarny, le Brairet, le Molliet, Nambride, situés entre le chef-lieu et le cirque du Fer-à-Cheval, dans la vallée du Giffre Haut. Maison Neuve, Passy, Lavoisière, le Fay, Hauterive, la Chapelle, et Englène situés comme Salvagny dans la vallée du Giffre des Fonds.

Sixt-Fer-à-Cheval est relié par une seule route au reste de la vallée par le passage des gorges des Tines, verrou glaciaire qui sépare nettement la commune du reste de la région.

La majorité de la commune, soit 9200 hectares occupée par la réserve naturelle nationale de Sixt-Passy, est donc partiellement inhabitée, hormis par des exploitations pastorales en été. Sixt est la deuxième commune la plus étendue de Haute-Savoie, après Chamonix. Ses nombreux alpages font de Sixt le plus grand territoire pastoral du département.

Le torrent sortant du village principal, au niveau des gorges des Tines, est le résultat de la confluence de deux torrents appelés pour l'un Giffre Haut (mais plutôt appelé communément Giffre) et l'autre Giffre des Fonts.

Le torrent traversant le village principal s'appelle donc le Giffre[1]. C'est celui qui provient de la vallée glaciaire du Fer-à-Cheval, plus loin que le cirque du Fer-à-Cheval, au lieu-dit le Bout du Monde.

L'autre torrent dit « Giffre des Fonts » prend sa source au cirque des Fonts.

Chacun des deux torrents est le résultat du regroupement de plusieurs petits torrents et cascades dans le cirque du Fer-à-Cheval pour l'un et dans le cirque des Fonts pour l'autre.

De nombreuses cascades jaillissent un peu partout. La plus importante est la cascade du Rouget. En été, plus de trente cascades arrosent le cirque du Fer-à-Cheval, dont « la Pissette, la Perrette, le Joutton, la Lyre, la Méridienne, le Fenestrailes, le Folli, la Contrainte, les Renauds »[1].

Le point culminant de la commune est le mont Buet, d'une altitude de 3 096 mètres puis le Ruan (3 050 mètres) et le pic de Tenneverge (2 989 mètres).

La commune est bordée par la frontière suisse.

Communes limitrophes

Rose des vents Champéry (Drapeau de la Suisse Suisse, Valais) Evionnaz
(Drapeau de la Suisse Suisse, Valais)
Rose des vents
Samoëns N Salvan, Finhaut
(Drapeau de la Suisse Suisse,Valais)
O    Sixt-Fer-à-Cheval    E
S
Arâches-la-Frasse
Magland
Passy Vallorcine

Urbanisme

Typologie

Au , Sixt-Fer-à-Cheval est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[2]. Elle est située hors unité urbaine[3] et hors attraction des villes[4],[5].

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (97,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (97,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (53,7 %), forêts (34,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (9,4 %), prairies (1,3 %), zones agricoles hétérogènes (0,6 %), zones urbanisées (0,5 %)[6].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Toponymie

Le nom officiel de la commune est Sixt-Fer-à-Cheval selon le Code officiel géographique français, depuis le [insee 1],[7], même si localement on utilise encore la forme Sixt pour désigner la commune[1],[8].

Sixt est un toponyme d'origine francoprovençal qui trouve son origine dans l'ancien français saxe qui désigne un rocher[9],[10].

Lors de la fondation de l'abbaye en 1144, la mention du lieu est Siz[9]. On trouve la forme Syz en 1275, puis Sixt[9]. Lors de l'occupation française du duché de Savoie, on trouve la forme Sixte en 1801[7].

En francoprovençal, le nom de la commune s'écrit Hi (graphie de Conflans) ou Sixt (ORB)[11].

Histoire

Le site accueille une abbaye en 1144[9],[12]. Celle-ci est fondée par des moines de l'abbaye d'Abondance qui s'installent sur des terres concédées par le sire de Faucigny Aymon Ier[12]. Son frère, Ponce, en est le premier abbé[12],[1]. Le troisième de la fratrie, Arducius est évêque de Genève[12].

Au début du XIXe siècle, les habitants émigrent dans les villes ou dans les grandes villes de la France voisine, se spécialisant dans les métiers de « maçons, tailleurs de pierres ou commissionnaires »[1]. Le village fait le commerce de « charbon, bestiaux, beurre et fromages estimés et connus sous le nom de tomme de Sixt »[1].

Le géographe savoyard Albanis Beaumont acquiert l'abbaye où il meurt en 1811[1].

Sur le mont Buet, est construit en 1910, le refuge du Grenairon. Détruit en 1984 par un incendie, il est reconstruit en 1985 à l'identique.

Politique et administration

Situation administrative

La commune de Sixt-Fer-à-Cheval est situé dans le département de la Haute-Savoie[insee 1]. Elle appartient, depuis le décret du , au canton de Cluses[insee 1],[13].

Sixt-Fer-à-Cheval relève de l'arrondissement de Bonneville et de la sixième circonscription de la Haute-Savoie (créée en 2009).

Administration municipale

Le nombre d'habitants au dernier recensement étant compris entre 500 et 1 499, le nombre de membres du conseil municipal est de 15[14].

Liste des maires

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1942 1960 François Rannaud MRP Exploitant forestier, marchand de bois ; hôtelier et épicier
mars 2001 mars 2008 Béatrice Pin    
mars 2008 7 mai 2009[Note 1] Pierre Moccand    
7 mai 2009 En cours
(au 8 décembre 2014[16])
Stéphane Bouvet SE Président de la Communauté de communes

Population et société

Démographie

Ses habitants sont appelés les Sizères et les Sizerets[17].


L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[18]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[19].

En 2021, la commune comptait 738 habitants[Note 2], en diminution de 4,77 % par rapport à 2015 (Haute-Savoie : +5,99 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1822 1838 1848 1858 1861 1866
1 0151 1741 2541 4811 6591 6441 3541 4781 393
1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911
1 2981 2781 2301 2211 1921 1431 0891 037906
1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
777756715671621626605619626
1982 1990 1999 2004 2006 2009 2014 2019 2021
662715706793786790773759738
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[21].)
Histogramme de l'évolution démographique

Radios et télévisions

La ville est couverte par des antennes locales de radios dont France Bleu Pays de Savoie, ODS Radio, Radio Mont-Blanc, La Radio Plus ou encore Radio Giffre… Enfin, la chaîne de télévision locale TV8 Mont-Blanc diffuse des émissions sur les pays de Savoie. Régulièrement l'émission La Place du village expose la vie locale du Faucigny. France 3 et sa station régionale France 3 Alpes, peuvent parfois relater les faits de vie de la commune.

Presse et magazines

La presse écrite locale est représentée par des titres comme Le Dauphiné libéré, L'Essor savoyard, Le Messager - édition Faucigny, le Courrier savoyard, ou l'édition locale Le Faucigny.

Économie

L'économie locale est basée sur :

  • l'exploitation du bois (coupes en forêts, scieries, bois de chauffage) ;
  • l'artisanat (lingerie, articles en bois, petits meubles) ;
  • de petites entreprises liées au bâtiment (menuiserie, charpente, plomberie, électricité, chauffage...) ;
  • l'agriculture (élevage, production de fromages).
  • le tourisme (station de ski, sites classés, Cirque du Fer à Cheval)

Tourisme

En 2015, la capacité d'accueil de la station-commune, estimée par l'organisme Savoie Mont Blanc, est de 3 319 lits touristiques répartis dans 498 structures[Note 3]. Les hébergements se répartissent comme suit : 31 meublés ; un hôtel ; deux structures d'hôtellerie de plein air (129 emplacements) ; un centre ou village de vacances, 7 refuges ou gîtes d'étape et une chambre d'hôtes labellisées[22],[insee 2].

Présence d'activités annexes (magasins de souvenirs, de sport, alimentation, cafés, restaurants...), gestion des refuges de montagne en été et des remontées mécaniques en hiver ;

  • en été : alpinisme (guides de haute montagne), randonneurs à pied, VTT, activités sportives telles que rochers et falaises d'escalade de divers niveaux de difficulté, via ferrata, rafting, location d'ânes, mulets et chevaux, randonnées en calèche ;
  • en hiver : ski de fond, ski alpin, raquettes à neige, escalade de nombreuses cascades glacées.

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Patrimoine religieux

L'église Sainte-Madeleine.

L'ancienne abbaye de chanoines réguliers de Saint-Augustin fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis 1997[23]. L'oratoire de Maison-Neuve fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis le [24].

Les chapelles
  • la chapelle Saint-François-de-Sales, située sur l'alpage des chalets de Sales ;
  • la chapelle du Fay de Sixt-Fer-à-Cheval.
  • la chapelle du Mont
  • la chapelle de Salmoiry
  • la chapelle de Notre-Dame des Grâces
  • la chapelle du Molliet
  • la chapelle de Passy
  • la chapelle de Salvagny
  • la chapelle des Fonts
Les oratoires
  • Oratoire du Bienheureux Ponce et sa fontaine miraculeuse

Patrimoine bâti

  • Le Buet est un lieu-dit situé au sud-est de la commune, ruine d'un buet (moulin), abri pour divers rapaces.
  • * Les refuges alpins de Sales et d'Anterne.

Patrimoine environnemental

Cascade de la Pleureuse et de la Sauffaz.
Le cirque du Bout du Monde.
Table orientation : cirque du Fer-à-Cheval.

Le territoire de Sixt-Fer-à-Cheval est couvert par de nombreuses protections régies par les codes de l'environnement et du patrimoine :

5 sites classés :

4 sites inscrits :

  • Désert de Platé, col d'Anterne et haute Vallée du Giffe (arrêté du 23 septembre 1965 / 13 036 ha / motif pittoresque).
  • Hameau de Passy (arrêté du 29 février 1944 / 0.95 ha).
  • Montagne d'Anterne (arrêté du 2 février 1944 / 948.72 ha).
  • Hameau et chapelle de Salvagny (arrêté du 20 avril 1944 / 1.16 ha).

Comprenant des sites naturels particulièrement grandioses :

2 sites Natura 2000 :

La Réserve Naturelle Nationale de Sixt-Fer-à-Cheval/Passy :

D'une superficie de 9 445,00 hectares, elle est la plus vaste réserve naturelle de Haute-Savoie. la RN de Sixt-Fer-à-Cheval / Passy est un monde exclusivement calcaire qui présente une grande variété de formes modelées par l’érosion : fissures, lapiaz, etc. Ses 9445 ha couvrent les étages montagnard, subalpin, alpin et nival depuis les bords du Giffre à 900 m jusqu’au sommet du Buet à plus de 3000 m. La RNN est gérée par le Conservatoire des Espaces Naturelles de Haute-Savoie[25].

Personnalités liées à la commune

  • Ponce de Faucigny (vers 1100-vers 1170), religieux savoyard, fondateur de l'abbaye de Sixt.
  • Albanis Beaumont (1753-1810), ingénieur et géographe, mort et enterré à Sixt.
  • Jacques Balmat (1762-1834), chasseur de chamois, cristallier et guide qui réussit la première ascension du mont Blanc, mort à Sixt à la suite d'une chute en montagne, son corps n'a jamais été retrouvé.
  • Pierre-Marie Moccand (1869-1942), dit Pierre au Merle, Bois tordu puis Monaco[26],[27], figure locale, ébéniste, collectionneur d'objets et photographe auto-éditeur de cartes postales[28], propriétaire du café-restaurant abritant une salle de musées dit Aux Merveilles de la Nature (hameau du Molliet) et du carrousel savoyard[29],[30].

Héraldique

Armes de Sixt-Fer-à-Cheval

Les armes de Sixt-Fer-à-Cheval se blasonnent ainsi : De gueules à la fasce ondée d'argent, accompagnée en chef d'une tête d'aigle d'or et en pointe d'une crosse du même.

Voir aussi

Bibliographie

  • Henri Baud, Jean-Yves Mariotte, Alain Guerrier, Histoire des communes savoyardes : Le Faucigny, Roanne, Éditions Horvath, , 619 p. (ISBN 2-7171-0159-4), p. 546-558, « Sixt ».
  • Abbé Marie Rannaud, Histoire de Sixt, abbaye, paroisse, commune : 1135-1914, Annecy, J. Abry, , 672 p. (lire en ligne).

Articles connexes

Liens externes

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Notes et références

Notes et cartes

  • Notes
  1. Pierre Moccan, maire, démissionne le 7 mai 2009[15].
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  3. La structure Savoie Mont Blanc, pour ces données statistiques de capacité d'accueil en termes de lits touristiques d'une station ou d'une commune, additionne les établissements marchands, qui appartiennent au secteur de l'hôtellerie, et les hébergements non marchands, qui n'impliquent donc pas de transaction commerciale comme les résidences secondaires[22].
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

Références

Site de l'Insee

  1. a b et c Code officiel géographique de Sixt-Fer-à-Cheval sur le site de l'Insee, consulté le 21 octobre 2015.
  2. « Chiffres clés Tourisme » (consulté le ).

Références

  1. a b c d e f et g Jean Luquet, Dictionnaire du duché de Savoie : M.DCCCXL (1840), publié dans Mémoires et documents de la Société Savoisienne d'Histoire et d'Archéologie, t. 2, La Fontaine de Siloé, coll. « L'Histoire en Savoie » (réimpr. 2005) (1re éd. 1840), 265 p. (ISSN 0046-7510, lire en ligne), p. 89.
  2. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  3. Insee, « Métadonnées de la commune de Sixt-Fer-à-Cheval ».
  4. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  5. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  6. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  7. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Sixt-Fer-à-Cheval », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
  8. Paul Guichonnet, Nouvelle encyclopédie de la Haute-Savoie : Hier et aujourd'hui, Montmélian, La Fontaine de Siloé, , 399 p. (ISBN 978-2-84206-374-0, lire en ligne), p. 83.
  9. a b c et d Henry Suter, « Sixt », sur le site d'Henry Suter, « Noms de lieux de Suisse romande, Savoie et environs » - henrysuter.ch, 2000-2009 (mis à jour le 18 décembre 2009) (consulté le ).
  10. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, vol. 3 : Formations dialectales (suite) ; formations françaises, Genève, Librairie Droz, coll. « Publications romanes et françaises » (no 195), , 1852 p. (lire en ligne)..
  11. Lexique Français : Francoprovençal du nom des communes de Savoie : Lé Kmoune in Savoué, Bruxelles, Parlement européen, , 43 p. (ISBN 978-2-7466-3902-7, lire en ligne), p. 15.
  12. a b c et d Colette Gérôme, Histoire de Samoëns : Sept montagnes et des siècles, La Fontaine de Siloé, , 254 p. (ISBN 978-2-84206-274-3, lire en ligne), p. 34-36.
  13. « Décret no 2014-185 du 18 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de la Haute-Savoie », Légifrance, (consulté le ).
  14. art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
  15. « Sixt-Fer-à-Cheval/élections municipales : les habitants contraints de revoter avant la fin du mois de mai », sur le site de l'hebdomadaire Le Messager, (consulté le ).
  16. Compte rendu de la réunion du conseil municipal du 8 décembre 2014, [lire en ligne].
  17. « Sixt », sur le site de mutualisation des Archives départementales de la Savoie et de la Haute-Savoie - sabaudia.org (consulté le ), Ressources - Les communes.
  18. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  19. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  20. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  21. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  22. a et b « La capacité d'accueil touristique en Savoie-Mont-Blanc », Observatoire, sur le site Savoie-Mont-Blanc - pro.savoie-mont-blanc.com (consulté le ) : « Les données détaillées par commune, et par station : nombre de structures, nombre de lits par type d'hébergements (fichier : Détail des capacités 2015, .xlsx) ».
  23. Notice no PA74000002, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  24. Notice no PA00118444, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  25. « Sixt-Fer-à-Cheval / Passy | RESERVES NATURELLES DE FRANCE », sur www.reserves-naturelles.org (consulté le )
  26. Notice sur data.bnf.fr
  27. Dominique Abry-Deffayet, « Pierre au Merle, l'original du Fer à Cheval (Sixt, Haute-Savoie) », Le Monde alpin et rhodanien. Revue régionale d’ethnologie, nos 23-2-4,‎ , p. 235-246 (lire en ligne).
  28. Signature d'éditeur : Moccand, photo édit., Sixt ou Edit. Moccand, Photo Sixt - Cl. Inédit
  29. Philippe Joutard, Jean-Olivier Majastre, Imaginaires de la haute montagne, Centre alpin et rhodanien d'ethnologie (CARE), (ISBN 978-2-85924-001-1), p. 67, voir également la page dédiée sur le blog hier-a-samoens « Carrousel savoyard de Pierre au Merle ».
  30. « Le carroussel savoyard au bois tordu tourne à nouveau » [PDF], Bulletin d'information de Sixt-Fer-à-Cheval, sur mairie-sixtferacheval.fr, (consulté en ), p. 15.