Attilio Ruffini
Député IXe législature de la République italienne | |
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Ministre des Affaires étrangères Gouvernement Cossiga I | |
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Ministre de la Défense Gouvernement Cossiga I | |
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Attilio Ruffini | |
Député VIIIe législature de la République italienne | |
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Ministre de la Défense Gouvernement Andreotti V | |
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Attilio Ruffini Attilio Ruffini | |
Ministre de la Défense Gouvernement Andreotti IV | |
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Attilio Ruffini Attilio Ruffini | |
Ministre de la Défense Gouvernement Andreotti III | |
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Attilio Ruffini | |
Ministre de la Marine marchande Gouvernement Andreotti III | |
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Francesco Fabbri (d) | |
Ministre des Transports Gouvernement Andreotti III | |
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Mario Martinelli (en) | |
Député IVe législature de la République italienne Ve législature de la République italienne VIe législature de la République italienne VIIe législature de la République italienne | |
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Naissance | |
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Décès | |
Nom de naissance |
Attilio Ruffini |
Nationalité | |
Formation | |
Activités | |
Enfants |
Paolo Ruffini Ernesto Maria Ruffini (d) |
Parti politique | |
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Distinctions |
Attilio Ruffini est un homme politique italien né le à Mantoue et mort le à Rome.
Biographie
Attilio Ruffini est résistant dans les brigades catholiques[1].
Après la guerre, il s'installe comme avocat à Mantoue et adhère en 1945 à la démocratie chrétienne dont il devient secrétaire provincial[1].
En 1955, il s'installe à Palerme où exerce son oncle, le cardinal Ernesto Ruffini, et où il épouse la fille du député sicilien Giuseppe La Loggia. Il a pour client la Satris d'Ignazio et Antonino Salvo[1].
Il est élu député en 1963 et est appelé au Gouvernement Andreotti II en 1972 comme sous-secrétaire à l'Instruction publique, puis au Trésor, confirmé dans le cabinet Rumor IV[1].
Il est ministre des transports en 1976, ministre de la défense du au et ministre des affaires étrangères du au [1].
La révélation de sa présence à la veille des élections générales de 1979, dans un diner qui réunit les chefs des clans mafieux Bontade, Inzerillo, Spatola et Gambino, qui soutiennent sa candidature, l'oblige à laisser son ministère mais ne l'empêche pas d'obtenir ensuite la présidence de la commission de la défense à la Chambre des députés[2].
En 1987, il laisse la chambre des députés et reprend la robe d'avocat[1].
Notes et références
- (it) Emanuele Macaluso, I santuari: Mafia, massoneria e servizi segreti: la Triade che ha condizionato l’Italia, LIT EDIZIONI, (ISBN 978-88-6826-993-7, lire en ligne)
- « Un tremblement de terre politique », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
- (en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Attilio Ruffini » (voir la liste des auteurs).
Liens externes
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- Notice dans un dictionnaire ou une encyclopédie généraliste :